Durant la Seconde Guerre mondiale, c’est un futur conseiller fédéral UDC qui a mis en place les mesures nécessaires afin de nourrir notre population. L’exercice avait clairement démontré le faible degré d’autosuffisance du pays mais la prospérité revint et on oublia.
Aujourd’hui, la guerre en Ukraine remet l’autosuffisance sur le tapis. Nous manquons de tout dès que les importations se compliquent voire se tarissent. Nous en faisons toutes et tous l’expérience au quotidien. Le gaz a pris 34% d’augmentation depuis le 1er mai. L’essence ne cesse de grimper tandis que les denrées alimentaires de base deviennent de plus en plus onéreuses. Et c’est la classe moyenne qui trinque.
L’UDC s’engage à limiter les effets délétères de la pénurie. Cela passe notamment par l’exigence de baisser taxes et impôts sur le carburant afin de permettre aux usagers de la route de faire le plein sans y laisser leur chemise. Et par un soutien sans faille à l’agriculture dont le rôle est de proposer des denrées de qualité aux consommateurs qui doivent désormais se passer de ce qui venait de loin. Il a fallu une guerre pour nous rappeler les vertus de l’indépendance. Pourvu que cette fois, on retienne la leçon.