Dans un post publié la semaine dernière, j’expliquais que la gestion de la crise du Covid-19 m’exaspérait (https://guymettan.blog.tdg.ch/) parce que j’avais le sentiment qu’on me prenait pour un imbécile et qu’on refusait d’admettre que les mesures prises portent gravement atteinte à la démocratie.
Dès le départ, j’ai été choqué par l’inertie, puis l’incompétence et enfin par la disproportion des mesures envisagées. Ces fautes originelles auraient pu être pardonnées si l’on avait pris la peine de s’excuser, ce qui n’a jamais été fait. Pire, on a persévéré dans les outrances, en imposant des confinements aveugles, en ruinant la culture et des secteurs économiques comme l’hôtellerie-restauration, en interdisant des traitements inoffensifs, en imposant la vaccination en contournant une loi qui ne l’impose pas, en se livrant à un chantage anxiogène avec le soutien des grands médias et en donnant l’impression que les politiques rivalisaient d’ardeur pour savoir qui serait le premier à proposer la mesure la plus extrême afin de passer à la télévision.
Tout cela pour une maladie qui fait 0,3% de victimes alors que les bronchopneumopathies (pollution de l’air) en font 0,4%, soit 30% de plus. Et pourtant, on ne s’est pas arrêté de respirer et on n’a pas ruiné la vie de millions de gens pour ça, non?
Vacciner, soit. Imposer un pass sanitaire, non!