Depuis deux ans, des chevaux sont atrocement mutilés… parfois, jusqu’à en mourir. Près de 200 enquêtes en cours et toujours pas d’arrestations du – ou des – coupable(s). Des premiers cas, en 2018, dans le Puy-de-Dôme et même à Schaffhouse et dans le Jura… Mais voilà qu’ils se sont accélérés, depuis le printemps dernier, à travers tout l’Hexagone, et ce jusqu’à nos frontières. L’émotion et la colère sont immenses, car les sadiques courent toujours et continuent leurs méfaits. Personne pour les débusquer. Donc personne pour les sanctionner. Certains se disent que, nous aussi, humains sommes également sacrifiés. Mais, comme me le répétait justement ma chère grand-maman: «Qui n’aime pas les bêtes, n’aime pas les hommes!»