DECOUVRE qu’une rencontre transfrontalière s’est tenue au Lignon sur le phénomène de «la pollution lumineuse». Rencontre à laquelle participait notre conseiller d’Etat chargé de l’Environnement. D’où ce titre d’un quotidien genevois: «Pour Luc Barthassat, la lumière est devenue une source de nuisances». C’est sans doute pour ça qu’on ne lui a pas confié la culture.
S’EST AMUSE à chercher les poissons d’avril dans la presse romande. L’un d’entre eux l’a interpellé. L’ouverture, au stade de Maladière, d’un secteur réservé aux animaux de compagnie désirant assister aux matchs du Neuchâtel Xamax. Un poisson qui aurait eu bien plus de sens au Stade de Genève pour les matchs du Servette, on peut en effet constater qu’il n’y a plus un chat.
SONGE QUE, comme le disait Coluche, «certains donnent l’impression d’avoir eu des enfants parce qu’ils ne pouvaient pas avoir de chien». C’est la première chose qui lui vient à l’esprit en apprenant que des parents ont voulu prénommer leur fils de la simple lettre «J». Ce que la justice a heureusement refusé. A ce tarif-là, pourquoi pas un prénom composé genre «P-Q»? Sûr que le gamin n’en aurait pas souffert à l’école…
SE MOQUE souvent de l’utilité de certaines manifestations, genre «80 personnes devant la mairie de Jussy pour dire non à Poutine»! Ne pensait pas qu’une banderole brandie à Berne dans une manif’ anti-Erdogan et appelant à le tuer ferait réagir Erdogan lui-même! Aux dernières nouvelles, il est toujours vivant. Cela prouve bien que cet appel au meurtre n’était qu’un malentendu. Enfin, en tout cas pour l’instant…