La pièce traite d’un sujet méconnu, les femmes dans les usines d’armement lors de la Première Guerre mondiale. Ces ouvrières réquisitionnées, qui avaient remplacé les hommes partis au combat, avaient les mains jaunes. Traces indélébiles du contact avec la poudre de TNT. Le texte de Michel Bellier rapporte comment une conscience féministe se construit peu à peu.
«Les Filles aux mains jaunes», salle communale d’Onex, mercredi 9 février, 20h, www.spectacles-onesiens.ch