Mouchoir en tissu que le Genevois glissait dans sa poche en automne, pour ne l’en ressortir qu’au printemps. Pour le laver (sic!).
«Dimanche, je me suis enrhumé à la Coupe de Noël. Depuis, j’ai des chandelles qui me pendent du nez. Tu me prêtes ton tire-jus, il est propre au moins?» Bien sûr…