Il faut les célébrations de la Toussaint pour penser, évoquer, libérer la parole autour de la mort. Les autres jours: nada? Tout est prétexte, fin octobre et début novembre, pour parler trépas-deuil-chagrin-perte-etc. On sort les experts et spécialistes pour analyser, conseiller et accompagner. Pourtant, on entend loin à la ronde la sempiternelle phrase: «La mort fait partie de la vie!» Alors, pourquoi s’arrêter en si «bon» chemin?
Dans ce journal, on m’a fait confiance en me donnant cet espace pour évoquer ce thème et bien davantage. Quel privilège – merci tout particulier à ceux qui ont permis ce rendez-vous – car la mort n’attend pas une seule date pour être abordée…
Alors, puisque c’est la Toussaint, à toutes les familles, touchées par la perte d’un des leurs, mes pensées les plus chaleureuses. Que ce soit ces jours, les précédents et les suivants!